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Une aide et des conseils qui n’ont pas de prix

Godefroy Aubéry s’interrogeait depuis longtemps sur la croissance de Délicouki, une PME qu’il a rachetée avec sa famille il y a 10 ans. Devait-il embaucher un nouveau DG ? Fusionner avec une autre entreprise ? Ou mettre sur pied un comité consultatif ?

C’est cette dernière option qu’il a retenue. Non sans avoir hésité longuement.

Lui-même membre du comité stratégique d’une entreprise familiale de jus de fruit située hors du Québec, Godefroy Aubéry a pu observer « les bienfaits, le positif et les changements que ça a amenés durant une période quand même assez courte ».

S’il a mis du temps à prendre sa décision, c’est à cause des coûts et de l’engagement qu’un tel comité allait impliquer pour lui. Ses dernières hésitations se sont envolées avec la pandémie. Un comité consultatif stratégique allait l’aider à structurer une entreprise et à prendre des décisions éclairées.

Spécialisé dans la fabrication de biscuits et collations inspirés de recettes traditionnelles québécoises, Délicouki, une PME comptant 35 employés, « a perdu les deux tiers des ventes du jour au lendemain. On a même dû faire des crédits à certains clients qui ont dû nous renvoyer la marchandise, parce qu’on vendait beaucoup dans les écoles. »

Un comité taillé sur mesure

Le président de Délicouki a communiqué avec le Cercle GDP, avec qui il était déjà en contact depuis un certain temps.

Selon lui, ce qui distingue l’approche du Cercle GDP, c’est que les membres du comité consultatif sont choisis à l’extérieur de l’entreprise, « en fonction de nos besoins actuels et de ce que l’on doit traverser dans les prochaines années ».

Comme dans une démarche d’embauche, le Cercle a établi une liste de candidats potentiels, tous très pertinents, qu’il a fallu évaluer puis sélectionner. « On a fait des entrevues sur Teams, évidemment, avec plusieurs, et c’était à moi de choisir lesquels je voulais. La visite de l’usine qui a suivi m’a permis de valider mes choix. »

Bien entouré et appuyé par le Cercle GDP, il se dit à la fois très satisfait du processus de sélection et de la composition de son comité consultatif. « Ce que j’ai aimé, c’est que chaque personne qui en fait partie – il y en a cinq – a des compétences spécifiques. Il y en une en production, une en vente, une en gestion, une en RH et une autre en tant qu’entrepreneur en général. Et chacune a traversé ce qu’on s’apprête à traverser ou ce qu’on vit maintenant. »

Des retombées immédiates

Godefroy Aubéry constate que le comité consultatif nécessite un surplus de travail, « parce qu’il faut arriver avec des données, des rapports, des choses comme ça et finalement, c’est moi qui fais tout ». Et les réunions, au rythme de cinq par année, surviennent rapidement. En d’autres termes, il faut être préparé et structuré.

Cela dit, le jeu en vaut la chandelle, car à la suite de la première réunion, en août 2021, l’entreprise « a mis la hache dans beaucoup de produits et a embauché une directrice des ventes ».

Une autre des décisions majeures de l’entreprise a été de délaisser le marché du détail des supermarchés, pour lequel l’approche commerciale et la production sont différentes, pour pousser davantage le service alimentaire. « Ça a été le premier conseil des membres du comité : vous êtes meilleurs dans le service alimentaire, focalisez-vous là-dessus. Oubliez le reste. On remettra ça pour plus tard. »

Pour accélérer son développement dans le service alimentaire, Délicouki a également mis en place une équipe de marketing.

Un engagement soutenu et des conseils inestimables

Ce qui a particulièrement surpris le chef d’entreprise, c’est l’engagement de chacun des membres du comité consultatif envers sa réussite et celle de Délicouki, « alors qu’en fin de compte, sur le plan monétaire, je sais que c’est très peu par rapport à l’aide qu’ils apportent ».

Selon lui, mettre sur pied un comité consultatif équivaut à avoir accès à l’aide et à la structure d’une grande entreprise. « Les membres font tous partis d’entreprises plus grosses, ils ont beaucoup d’expérience. Si je les appelle, ils vont me donner des conseils qui n’ont pas de prix en fait, parce que c’est comme si on bénéficie de l’aide d’une entreprise beaucoup plus structurée que nous. »

Si c’était à refaire…

Le dirigeant l’admet sans détour : « Honnêtement, si j’avais reçu les conseils et l’accompagnement des membres du comité consultatif il y a 10 ans, peut-être qu’on n’en serait pas là aujourd’hui. Ce serait une autre entreprise, parce qu’on a pris beaucoup de chemins détournés. »

En définitive, si Délicouki a eu une bonne année, le comité consultatif a contribué à accélérer la prise de décisions, estime Godefroy Aubéry.

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