Les chefs d’entreprises de petite taille sont souvent amenés à diriger seuls tous les départements. Finances, opérations, service à la clientèle et qualité, pour ne nommer que ceux-ci. Même s’ils ont développé une expertise dans plus d’un département, il est rare qu’ils les maitrisent tous et celui des RH est souvent le petit dernier. Pourtant, la main-d’œuvre est un grand incontournable.
Les chefs d’entreprises qui ne maitrisent pas les RH doivent être bien entourés ou épaulés pour s’assurer que leur organisation se porte bien. Le domaine est vaste et les erreurs peuvent être coûteuses.
Un comité consultatif axé sur les ressources humaines peut s’avérer être très avantageux pour une PME. Il est composé de membres indépendants provenant du secteur dans lequel l’entreprise œuvre. Ceux-ci sont des spécialistes des RH et aident le client à voir les angles morts, lui proposent des solutions et l’informent. Ils l’aident à dénouer des impasses et les prévenir des pièges possibles. Ils ont un grand bagage dans les quatre principaux éléments de la gestion des RH, soit :
-Recrutement et sélection de la main-d’œuvre (trouver les perles rares!)
-Formation et perfectionnement (développement organisationnel et relève à long terme)
-Rémunération et avantages (attraction, rétention, motivation)
-Relations de travail (cultiver l’harmonie)
«Avec un comité consultatif, puisque ce sont quatre ou cinq personnes indépendantes, on a un point de vue à 360 degrés. De plus, les gens qui sont recrutés viennent de l’industrie, comprennent l’industrie et comprennent les besoins de l’industrie», indique Marie-Ange Bourdon, présidente du Cercle GDP.
Le comité peut être permanent ou temporaire, selon les besoins du client, avec un but très précis. Il peut :
-être une branche d’un conseil d’administration
-travailler de concert avec un comité consultatif existant
-être en appui au comité de direction
La personne qui est au centre du comité spécial n’est pas nécessairement le chef d’entreprise. Il peut s’agir du délégué aux RH (sans que ce département soit sa spécialité) ou un actionnaire minoritaire. Il n’a pas nécessairement le contrôle de l’entreprise, mais veut faire avancer l’organisation.
Une fois que le chef d’entreprise voit les bénéfices d’un comité spécial RH, le groupe peut éventuellement être amené à former un comité consultatif général, selon l’évolution de l’entreprise.
Le Cercle GDP offre un service clé en main pour la mise en place et la gestion des comités consultatifs. En plus du comité RH, d’autres types de comités à vocation spéciale peuvent être mis sur pied, par exemple, un comité pérennité, un comité projet spécial et un comité nouveau produit. Lisez l’exemple du groupe Korok ici.
