Les experts des comités consultatifs®

Experts du comité consultatif®

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S’il peut accompagner une entreprise pour une période indéterminée, un comité consultatif peut également être utile pour mener à bien un projet spécial à durée limitée. Par Nathalie Savaria

C’est dans ce but que le Groupe Korok a mis sur pied, en 2021, un comité consultatif avec l’appui du Cercle GDP.

Entreprise manufacturière située à Drummondville, le Groupe Korok fabrique et commercialise le four Hot Rocks. Celui-ci est doté d’une technologie innovatrice permettant une cuisson rapide de la pizza, avec le goût et la qualité d’un four à bois.

En quête d’une expertise pour son expansion

Déjà présente aux États-Unis où elle réalise 80 % de son chiffre d’affaires, l’entreprise voulait accélérer son expansion à l’international.

À l’instigation de son conseil d’administration, elle a pris la décision de faire appel à un comité consultatif. « Au sein du conseil d’administration, on n’a pas nécessairement des gens spécialisés dans la pizza. On a un membre qui vient du domaine de la pizza, mais les autres, ce sont des avocats d’affaires ou des ingénieurs. Le conseil d’administration a donc décidé de lancer un sous-comité consacré au marché de la pizza, pour aller chercher des gens spécialisés qui connaissent le marché et qui vont nous aider à commercialiser ce nouveau produit qui a été lancé en 2015 », explique Vincent Tourigny, co-PDG du Groupe Korok.

L’apport du Cercle GDP

Le Cercle GDP et le dirigeant ont travaillé de concert à la mise sur pied du comité consultatif spécial.

Suivant la formule établie par le Cercle, Vincent Tourigny a participé à la sélection des candidats et aux entrevues, pour « s’assurer que c’étaient des gens provenant de toutes sortes de milieux avec des backgrounds différents, mais toujours reliés au marché de la pizza ou au marché des équipements manufacturiers dans l’industrie alimentaire ».

Une fois les experts recrutés, c’est le Cercle GDP, et non le dirigeant, qui a négocié leur rémunération. « Je ne voulais pas négocier leurs honoraires et c’est également pourquoi j’ai fait appel au Cercle. Je pense aussi que s’il y a un point sur lequel on n’est pas d’accord sur la rémunération, ça peut créer un froid pour la suite, tandis que là, si c’est quelqu’un qui fait ça pour toi, c’est un avantage. »

Puisque c’est également le Cercle qui assure la gestion et l’animation du comité, Vincent Tourigny affirme être davantage à l’écoute des idées et des conseils émis par les experts. « Je voulais moins me positionner dans un rôle de leader, parce que souvent les gens sont moins portés à livrer leurs pensées quand c’est le propriétaire ou l’actionnaire qui dirige la rencontre. »

Enfin, selon le dirigeant, « la qualité des notes ou des rapports rédigés par le Cercle amène une structure et augmente le niveau de professionnalisme de tout le monde ».

L’apport des experts

Au sein de son comité consultatif spécial, le Groupe Korok souhaitait aborder cinq points particuliers, dont l’accélération de sa croissance à l’international. La réponse des experts n’a pas tardé. « On nous a dit :  Vous n’êtes pas prêt, là. Allez-y avec les États-Unis, implantez-vous solidement. Puis après ça, vous pourrez aller en Asie, en Europe. »

Plutôt que de se lancer à l’international, le Groupe Korok a donc choisi de maximiser sa pénétration du marché américain tout en effectuant des améliorations pointues à son produit. Pour son co-PDG, la contribution des experts du comité est indéniable. « Autant ils vont nous faire réfléchir et nous ouvrir des portes, autant ils vont aussi nous éviter de commettre des erreurs, comme l’expansion à l’international un peu trop rapidement. »

Presqu’un an plus tard, alors qu’un voyage aux États-Unis sera le dernier point à couvrir à ce projet, l’entreprise s’interroge sur l’avenir de son comité. « Ce qui est bien avec un comité spécialisé, c’est que tu peux y mettre un terme si tu as atteint des objectifs très précis à l’intérieur d’une courte période. »

Une expérience qui en vaut le coup

Pour toutes ces raisons, Vincent Tourigny estime que « ça ne coûte pas grand-chose de l’essayer ». Par rapport à l’investissement, le dirigeant en retire beaucoup plus. « Le comité consultatif, c’est vraiment une occasion pour les entrepreneurs ou les actionnaires qui sont dans les opérations de prendre un pas de recul, puis de se faire challenger. Souvent, on est dans le day-to-day operations, non-stop. Ça tourne à 100 milles à l’heure tous les jours, et on ne prend pas le temps de réfléchir. »

L’expérience est si concluante qu’il projette de mettre sur pied d’autres comités consultatifs spéciaux. « On a deux marques de commerce principales, une dans la pizza, une autre dans l’emballage alimentaire. On est déjà en communication avec le Cercle GDP pour créer un autre comité, c’est-à-dire sur l’emballage alimentaire, parce qu’on croit que c’est un accélérateur de croissance. »

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