C’est exactement le rôle du catalyseur au Cercle GDP : structurer, orienter, faire émerger la valeur. Sans cette présence-clé, même les meilleurs comités peuvent tourner en rond.
Prenons un constat simple : les dirigeants passent en moyenne 23 heures par semaine en réunion, soit deux fois plus qu’il y a 60 ans (Harvard Business Review). Pourtant, jamais les réunions n’ont autant généré de frustration.
Pour les entreprises qui misent sur un comité consultatif pour nourrir leur réflexion stratégique, c’est un enjeu majeur. Une réunion mal préparée, mal animée ou mal encadrée coûte cher : en énergie, en opportunités manquées et en crédibilité.
Le catalyseur : un rôle central dans la réussite d’un comité
Dans le modèle du Cercle GDP, les comités ne fonctionnent pas sans catalyseur. Cette personne indépendante agit en amont et pendant les rencontres pour créer les conditions nécessaires à des échanges à haute valeur ajoutée. C’est un rôle de soutien stratégique, mais aussi de neutralité et de rigueur.
Plus qu’un animateur, le catalyseur agit comme un chef d’orchestre discret mais déterminant, capable de transformer une séance statique en espace de réflexion active.
Ce que le catalyseur permet d’éviter (ou de corriger)
Temps mal utilisé
Trop de comités improvisés voient leur efficacité plombée par un ordre du jour mal défini ou des échanges qui dévient du sujet. Le catalyseur clarifie les priorités, recentre les discussions, et s’assure que chaque minute serve l’objectif visé.
Voix absentes, voix trop présentes
Dans un groupe, il n’est pas rare que certains dominent pendant que d’autres se taisent. Or, la richesse d’un comité vient de la pluralité des regards. Le catalyseur invite, régule et distribue équitablement la parole pour que tous puissent contribuer pleinement.
Documents surchargés ou inutiles
Des pages et des pages de documents qui n’apportent rien de concret, ou un agenda survolé à la dernière minute : voilà qui tue la préparation. Le catalyseur veille à ce que les documents soient ciblés, utiles et transmis dans des délais raisonnables. Le bon contenu, au bon moment.
Flou sur les résultats attendus
Combien de fois quitte-t-on une réunion sans savoir ce qui doit être fait ensuite ? Le catalyseur conclut les rencontres par un tour de table et une synthèse claire des principales suggestions amenées et des sujets qui pourraient être abordés dans la rencontre suivante.
Accompagnement incontournable
Le Cercle GDP est convaincu que l’impact d’un comité ne dépend pas seulement de qui est autour de la table, mais de la façon dont ce groupe est accompagné dans sa réflexion. C’est ce que nous appelons une gouvernance stratégique bien outillée.
Et les données le confirment : les comités consultatifs structurés, soutenus par des pratiques rigoureuses de fonctionnement, permettent aux dirigeants de poser de meilleures décisions, de prendre du recul et d’innover de manière réaliste.
La présence d’un catalyseur transforme une rencontre. Ce n’est plus seulement une réunion, c’est un moment d’alignement, de lucidité et de direction stratégique.
Un comité peut avoir les meilleures têtes autour de la table, mais sans structure ni accompagnement, il ne générera pas le maximum de sa valeur. Au Cercle GDP, nous croyons que le rôle du catalyseur est ce qui transforme une bonne rencontre en levier stratégique. Et que cet accompagnement ne doit jamais être laissé au hasard.
