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On parle souvent de l’importance d’évaluer un comité consultatif. Au cours des derniers mois, Jacques Blais, membre d’un comité et catalyseur de deux autres, a eu la preuve que cet exercice primordial peut grandement changer la donne pour le chef d’entreprise et pour le bien de tous ceux autour de la table.

Au Cercle GDP, l’évaluation 360 de chaque comité est partie intégrante du service offert. Le processus est rigoureux et pris au sérieux. Chaque membre et le chef d’entreprise doivent se pencher de façon individuelle sur sa participation et son apport, notamment. Par la suite, des actions nécessaires sont prises pour corriger le tir, au besoin. Que ce soit en termes de composition du comité, de la façon d’agir ou de communiquer ou encore du déroulement des rencontres. 

«Au Cercle GDP, ce n’est pas seulement une question de bien sélectionner les membres du comité et d’avoir un bon catalyseur, même si cela est déjà beaucoup. Par exemple, une revue régulière s’impose pour recadrer et déterminer si les joueurs autour de la table ont encore leur raison d’être en lien avec les objectifs, illustre Jacques Blais. Rester dans le statu quo n’est pas bénéfique parce que l’entreprise, elle, elle évolue.»

Un objectif perdu de vue

L’exercice s’avère encore plus important pour un comité général qu’un à objectif spécifique ou spontané, précise-t-il. M. Blais siège à un comité dont l’objectif principal est d’aider le chef d’entreprise à développer ses ventes et s’assurer que la structure organisationnelle et le personnel sont optimaux. Les membres qui avaient été recrutés étaient issus du secteur manufacturier, en développement des affaires et en ressources humaines.

Un certain temps après la mise en place du comité, l’entreprise a fait face à des difficultés financières. Des membres avaient heureusement de l’expérience et des connaissances pour faire face à ce genre de défis. Tout en continuant de développer les ventes et de faire évoluer l’organisation des RH, ils ont pu aider l’entrepreneur à passer à travers la période de difficultés financières. Par la suite, l’entreprise a connu de grandes difficultés en ressources humaines. Le comité a une fois de plus été en soutien.

À la suite de départ de certains membres pour des raisons personnelles individuelles, l’emphase a été placée sur le recrutement de ressources axées sur le développement des affaires.

Au fil des rencontres et des défis, l’objectif primordial a cependant été perdu de vue et une certaine complaisance s’est installée. L’opérationnel a pris le dessus sur le stratégique. Lors de la dernière évaluation, tous ont constaté que les réunions étaient devenues des présentations par le chef d’entreprise, suivies de quelques discussions sur les enjeux du moment. Les discussions stratégiques avaient disparu ou du moins, n’étaient plus très présentes, malgré quelles étaient la raison principale de l’engagement du chef d’entreprise et des ressources autour de la table.

L’évaluation a permis de constater que les membres souhaitaient un changement majeur de la part du chef d’entreprise. «On était toujours en train de s’occuper de l’enjeu de gestion du moment. Il y a toujours de nouveaux enjeux qui se produisent dans les entreprises, mais est-ce le dévolu du comité consultatif? Je ne le crois pas», poursuit M. Blais.

Le sondage complété par le comité de façon individuelle et confidentielle a permis de savoir que les gens autour de la table commençaient à se sentir désengagés et que les raisons pour lesquelles ils avaient été sélectionnés n’étaient plus mises de l’avant, alors que l’entrepreneur avait encore besoin qu’on l’aide à casser certains moules et qu’on l’aide à changer ses paradigmes au niveau du développement des affaires de l’entreprise.

Lorsqu’un changement s’impose

Une rencontre de mise au point et un changement majeur s’imposaient. Les membres et le catalyseur ont expliqué au chef qu’ils n’étaient pas là pour l’appuyer avec ses problèmes du quotidien, mais plutôt pour le faire voyager et le faire cogiter sur les possibilités de développement à long terme qui s’offrent devant lui. Sur le coup, la réaction du chef d’entreprise n’a pas été facile, mais une fois la poussière retombée, il a partagé son appréciation.

Avec le catalyseur d’expérience et l’accompagnement du Cercle, le chef a compris qu’il avait tout ce qu’il fallait autour de la table pour l’aider à réussir, mais qu’il ne s’en servait plus à la hauteur de son potentiel.

À la suite de cet exercice, la pratique a été complètement recadrée. De nouvelles idées ont été proposées pour faire avancer encore plus les rencontres. L’ordre du jour a été modifié et les membres se sont exprimés sur ce qu’ils souhaitaient voir dans le comité consultatif. Cela a redonné un second souffle au comité consultatif.

Procédures et mécanismes essentiels

Le changement de cap a été mis en place grâce aux procédures et mécanismes du Cercle GDP, car en l’absence d’une évaluation et d’occasions officielles pour se pencher sur le fonctionnement et l’efficacité du comité, les membres seraient possiblement restés dans le silence et les irritants auraient pris de plus en plus de place.

«L’élément déclencheur est d’imposer une revue 360 par sondage ou autre, tel que le Cercle le fait. Je demeure convaincu que sans cette évaluation, on serait restés sur le même rail et nous n’aurions plus progressé.»

 

Pour en savoir davantage sur l’évaluation d’un comité, c’est ici. https://cerclegdp.com/levaluation-dun-comite-consultatif-en-trois-etapes/

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